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Naissance de l’agence éthique et responsable The Good Company
Une nouvelle agence est née. Son nom : The Good Company. Si le nom inspire le prestige, l’entité insuffle déjà un vent frais dans le milieu de la communication. Déjà, parce qu’elle propose une organisation du travail plus moderne. Au programme notamment, peu de hiérarchie, des circuits de décision courts, une organisation horizontale ainsi qu'une autonomie accrue pour chacun dans cette structure indépendante où les salariés-sociétaires détiennent 20% du capital.
Enfin, parce que The Good Company se veut éthique et responsable : « Nous nous adressons à toute entreprise, organisation, dirigeant qui souhaite créer des produits, des services, des expériences ou des communications plus responsables. Nous considérons que la communication responsable n'est ni une niche, ni un pan spécifique de la communication d'une entreprise. Elle est son moteur et son avenir. Tout comme la RSE ne peut plus être considérée à la marge de la stratégie d'entreprise, la communication responsable ne peut plus être considérée à la marge de la stratégie de marque : elle doit être au cœur de celle-ci ».
Au final, l’offre de l’agence se structure autour de deux piliers : le conseil et la création. « Nos équipes multi-culturelles et multi-disciplinaires sont capables d'accompagner nos clients du conseil en amont (business, brand, innovation), jusqu'à la création en aval (paid, owned, earned) », assure l'agence.
The Good Company s’organise autour d’un collectif d'une dizaine de talents (Leila Touiti Rose, Céline Picoré, Nina Kurose, Jacques Denain, Philippe Lesesvre…) réunis autour de Luc Wise.
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