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BETC Teens dévoile sa 3ème édition de « Communiteens »

Agences / 26 mars 2018

BETC Teens lance sa 3ème édition de « Communiteens » avec l'aide d'Instagram, Facebook et de Skyrock. À partir de dizaines d'interviews, de plusieurs focus groupe, d'entretiens et d'heures de scroll sur les réseaux, BETC Teens a pour mission de comprendre comment les adolescents forment leur communauté. Mais quelles sont au juste ces communautés ?

« L’âge des communautés, c’est l’adolescence, ce moment où l’individu va se construire à travers le groupe, explique l’agence BETC. Il n’y a jamais eu autant de communautés, de supports de discussion, d’interactions : des communautés les plus partagées - sur des thématiques beauté, mode, sport, célébrités - aux communautés plus niches (#acnecommunity), elles sont partout ! ». Structure dédiée aux 12-17, portée par Olivier Vigneaux, Sébastien Houdusse et Fabien Le Roux, BETC Teens cherche donc à accompagner les annonceurs sur ce terrain. BETC Teens propose trois types d’accompagnement : du design Teenking (workshop de co-création avec des Teens), Teendols (identification de potentiels influenceurs et programmes d’influence) et Teen Secrets (écoute des conversations, des tendances, veille et recommandations stratégiques).

Sur cette édition, l’agence tire plusieurs enseignements.

  • Les teens aiment les marques mais ils sont aussi ultra pragmatiques : derrière la marque, ils cherchent avant tout le centre d’intérêt : « je suis Burger King parce que je suis tout le manger » déclare Séryne, 14 ans. Pour avoir une influence, les marques doivent savoir hacker des communautés déjà en place, s’insérer dans des conversations existantes, autour de centres d’intérêt communs.

 

  • Penser micro-influenceur et multi-niches : « j’ai un petit compte avec mes 2000 abonnés, mais j’ai beaucoup de likes pour le nombre de followers que j’ai, on me demande souvent si j’achète des likes » confie Emma, 18 ans.

 

  • Toujours miser sur l’authenticité : les teens n’ont aucun problème avec les partenariats. En revanche la subtilité est de rigueur : « Y a des influenceurs tu vois très bien que c’est leur personnalité, mais d’autres ça se voit, ils sont faux » pour Imene, 15 ans. « J’aime bien quand la youtubeuse dit ce qu’elle pense vraiment, y en a plein elles sont hypocrites.» pour Séryne, 14 ans.

 

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